Sophie SÉmancipe. 2
Ce que mon mari ne sait pas. 2ème partie
Un mois après, on cest retrouvé dans un petit hôtel pas loin de lhôpital, javais dit à mon mari que jétais de permanence la nuit pendant tout le week-end.
Il mattendait à la fin de mon service, on a enfin découvert nos visages, pas de mauvaises surprises, on a beaucoup échangé avant de se diriger vers lhôtel.
On est dans la chambre d'hôtel, ses mains veulent découvrir tout de suite ma poitrine, il repousse ma robe pour que sa bouche suce mes si beaux tétons, je veux moi aussi voir si ce quil a dans le pantalon tient sa promesse. Je m'agenouille, ouvre la braguette, me saisis de son chibre qui n'attend que mes caresses pour faire le beau.
Sous ma langue experte, sa verge se gonfle de sang, le gland grossit et devient une belle prune que je déguste avec passion, il bande de plus en plus, ma main se saisit de sa hampe mais mes doigts sont repoussés par l'énorme bâton dur et chaud qui palpite dans ma main, ma bouche gobe le plus loin possible ce phallus, mais jabdique vu sa longueur.
Mes deux mains courent sur la peau fine faisant des aller-retour, chacune animée d'une vie propre, tournant en sens contraire sur l'engin imposant, ma bouche ne lâchant pas la prune violette qu'elle lèche, mordille de plus en plus fort, le faisant grogner de plaisir et de douleur.
Mais il veut lui aussi laper ma belle chatte, glisser sa langue dans ma vulve, exciter du bout de la langue mon clito qui a doublé de longueur.
Il retire son pantalon et se couche sur le lit, me demandant de me mettre tête-bêche sur lui.
-A mon tour de moccuper de ton plaisir ! Me dit-il.
Je retire ma robe et sest parti pour un 69. Il approche sa bouche de mon intimité trempée, il a sa tête entre mes cuisses, ses lèvres se déposent sur mon sexe, sa langue se promène sur mes délicates lèvres, puis elle va à la découverte de mon clitoris, il promène sa langue sur cette partie délicate, il le sent grossir, je gémis sous ses coups de langue, il continue son massage délicatement mais fermement, jondule de plaisir, mon ventre fait des vagues, je gémis de plus en plus fort pendant que ma bouche descend centimètre par centimètre le long de sa hampe magnifique, voulant toujours aller plus loin.
-Oui continue c'est trop bon
Suce mon Clito. Avale-le, Je veux que tu le suces comme une bite. Oui caresse-moi pendant que je lèche ton gland, hummm !!!
Sa langue va de plus en plus vite jusquau moment ou ma jouissance arrive dans un cri étouffé par son engin qui déforme mes joues et dénormes soubresauts secouent mon corps, envoyant des giclées de mon plaisir quil boit directement à la source.
Je suis dans un tel état que ma cyprine coule littéralement de mon sexe en feu, noyant sa bouche de mon suc dont il se délecte. Tout mon corps le réclame. Je le veux, je veux sentir sa verge au plus profond de moi.
Jaime jouir sous sa langue, mon corps secoué de spasmes se calme doucement. Mais mon envie de lui est toujours là, aussi forte. Je prends plaisir à le regarder bandant toujours. Je ne peux rester sans rien faire. Il faut que je le touche, que je le caresse.
Ma bouche revient vers son membre et le prend presque en entier. Je suis allé au-delà de mes limites. Mon Dieu, quelle bite!
Je commence de doux mouvements de va et vient. Mes mains caressent ses bourses, son fabuleux gourdin. Sa respiration devient plus courte, plus rapide, son sexe est si gros quil mautorise une telle caresse. Je le suce avec délectation.
Ma bouche qui aspire son membre lui procure de douces sensations mais moi je le voudrais dans ma chatte.
Il se laisse déborder par son plaisir, il nen peut plus, la pression dans ses bourses devient incontrôlable. Son sperme remonte sa lance, je voudrais retirer ma bouche mais il men empêche, retenant ma tête de ses deux mains.
Dans un soubresaut, il éjecte un puissant jet de semence suivit de plusieurs autres qui manquent de m mais je tiens bon, sa jouissance est au maximum.
Son foutre chaud inonde ma bouche, englue ma langue, dhabitude je déteste ça, ne pouvant le supporter sans des haut-le cur, mais là, jen apprécie le goût.
Gourmande, je voudrais tout avaler, mais je suis obligée den laisser échapper.
Dire que je refuse ce plaisir à mon homme !.............
Je continue ma fellation, et ne cesse de le faire gémir sous mes doigts de plus en plus habiles. Son membre est toujours aussi ferme, aussi dur et minvite à vivre dautres aventures.
-Prends- moi ! Sont les mots que je ne peux retenir en mallongeant sur le dos et en écartant mes jambes, offrant à sa vue ma chatte entre-ouverte et dégoulinante de cyprine, Il ne se fait pas prier, sa bite toujours aussi raide.
Il me chevauche, bien installé sur ses genoux, il me caresse avec une infinie douceur avant de sallonger sur moi. Je sens son membre coincé entre nos corps. Le contact de son gourdin mélectrise et me redonne des envies libidineuses.
Jaime être désirée par un « vrai » mâle, être sa femelle, prête à être saillie. Il membrasse dans le cou, me mordille les oreilles.
Il a bien retenu sa leçon et se souvient que cette caresse me rend folle. Ses mains se glissent sous mes fesses et soulève mon bassin. Il me fait écarter les cuisses pour faire bailler ma chatte. ¬
Sophie, je peux te prendre ?
¬ jai trop envie de me plonger en toi !
Oh oui
Vas-y ! Prends ma température avec ton gros thermomètre !
Jai trop envie de sa queue. Il se redresse sur ses genoux, tient sa matraque à lhorizontale et avance doucement son bassin.
Mon sexe réclame sa queue. De mes mains, jécarte mes lèvres intimes. Il me fait languir en frottant son gland sur ma vulve, le faisant buter sur mon clitoris, faisant semblant dentrer.
Jattends avec impatience que la grosse tête force la porte de mon antre béante et humide.
Enfin
Le gland mafflu sinsinue entre mes lèvres, passant le premier obstacle tout en douceur, il repousse mes chairs, pénètre toujours plus loin. Ne ressentant aucune résistance, il prend confiance et continue sa poussée rectiligne.
Il se saisit de mes jambes quil pose sur ses épaules, dégageant une voie royale à sa pénétration. Je laide en soulevant mon bassin pour faciliter lenvahissement de son rostre.
Il pousse toujours.
Je me sens comblée quand enfin son membre butte au fond de mon vagin, sans que ma chair ne se rebelle. Je sens que sa bite a atteint des profondeurs insoupçonnées, elle touche au fond de mon utérus.
Il commence à faire de légers aller/retour
Je naurais pas cru que mon sexe pourrait absorber un tel pal !
Je mouille tellement que ça me coule entre les fesses. Son gland boute des chairs intimes qui nont jamais été défrichées. Jai la sensation dêtre pleine, remplie. Mon sexe est au maximum de ses capacités et ne peut plus rien accepter. Chaque poussée vient taper un endroit inviolé provoquant une réaction réflexe de mon corps qui essaie déchapper à cette sensation inconnue, électrisante.
Il me regarde en me souriant et me murmure: ¬
-Que cest bon, Ton sexe est si doux, si serré
- Pour moi aussi cest très bon, je te sens au fond de moi
Nique-moi
, je suis ta putain
! Ta salope
! Une vraie salope
! Nique-moi avec ton monstre
!
A suivre
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